communauteSans
Communauté
boutiqueSans
Boutique
Image décorative. En cliquant dessus, on découvre les différents abonnements proposés par Rebelle-Santé
S’ABONNER

La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Troubles neurologiques et musculaires

Je ne peux pas dire de quoi souffre mon fils, car aucun diagnostic n’a pu être fait sur son cas. Je vous résume un peu l’histoire : mon fils est né normalement en 1963 et a eu une croissance sans problème jusqu’à l’âge de 17 ans. À ce moment-là est apparue une gêne du côté droit, en faisant du ski de fond, gêne également pour écrire. Après des examens en neurologie à Lyon, aucun diagnostic n’a pu être posé. Le professeur nous a laissé entendre que ce pourrait être le début d’une sclérose en plaques (à surveiller). En 1987, après un gros effort en pratiquant du vélo, il a eu de grosses difficultés d’élocution qui sont restées. Tout cela se solde par un gros handicap du côté droit, des difficultés pour parler et également pour manger. Son état reste stationnaire, il travaille dans un musée à temps partiel. »

Mme M. du Jura

LA RÉPONSE DE ROBERT MASSON

Madame,
– Aucun diagnostic n’a été posé mais selon toute vraisemblance, il y a atteinte neurologique.
– Ce que l’on peut faire sans risquer de nuire, c’est adopter un mode de vie et alimentaire propre à éviter une aggravation ou mieux, susceptible d’entraîner une amélioration de l’état de votre fils.

Je vous suggère :
1. Réduction du temps à utiliser le téléphone mobile.
2. Remplacement, s’il y a lieu, du téléphone sans fil par un téléphone à fil classique.
3. Le moins possible usage de l’ordinateur.
4. Éviction du Wifi.
5. Regarder la télévision à une distance minimum de 4 mètres.
6. Promenades régulières dans la nature, si le temps est propice.
7. Bien vérifier s’il n’y a pas de parasitose insoupçonnée (prurit anal, nasal, ombilical, nervosité aux lunaisons), dans ce cas, traiter.
8. Massage doux de la nuque au sacrum avec 2 cuillerées à café d’huile d’amande douce dans lesquelles auront été mélangées 2 gouttes d’HE ANTHEMIS NOBILIS + 2 gouttes d’HE CYSTE LADANIFERE à PINENE.
9. Éviter l’alcool, le tabac.
10. Éviter les protéines inflammatoires (lait, yaourts, fromages). Si «l’on tient» aux fromages, ils seront impérativement BIO et plutôt de brebis ou de chèvre, en quantité  mesurée.
11. Milieu du repas du matin : 2 gélules QUANTAOX (0805110327).
12. Milieu des repas midi + soir : 2 gélules QUANTAOMEGA 3 (0805110327) + 2 gélules FORTIOR – SND (diététique).
13. Faire vérifier la statique rachidienne par un ostéopathe partisan des “manœuvres douces”.
14. S’il y a beaucoup de “plombages” dans la bouche, penser à une intoxication mercurielle “larvée”, dans ce cas ajouter au point 12, midi et soir : une gélule ECOMER – Nutrilys (diététique). Ce complément apporte les Alkyglycérols, traitement de choix pour éliminer le mercure.
15. Éviter l’apport d’aluminium : utiliser des ustensiles en acier pour la cuisine.
16. Ne pas forcer le sel, saler “raisonnablement” les aliments.
17. Faire de petits drainages du foie, une semaine par mois avant le repas du soir dans un verre de Mont Roucous ou Montcalm, une ampoule d’AUBIER DE TILLEUL – La Gravelline (diététique).
18. IMPERATIF : suivre l’alimentation indiquée dans Diététique de l’expérience.
19. Les examens médicaux ayant été faits, soyez parcimonieuse à l’avenir pour tout type d’examens utilisant des rayonnements ou des ondes, sauf bien sûr si nécessité absolue pour le diagnostic.
20. Deux à trois fois par semaine, bains généraux aux ALG-ESSENCES – Cosbionat, à température 37/38 °C, pendant une durée de 10 à 15 mn.

Retour au sommaire de Belle-Santé n° 111

Magazine

À lire aussi

Les maladies émergentes

Fibromyalgie, fatigue chronique, électrosensibilité, maladies auto-immunes… Non, ce n’est pas « dans la tête » ! Françoise Cambayrac a suivi le chemin proposé par le Dr Melet et en témoigne aujourd’hui, elle donne pas à pas la marche à suivre pour « s’en sortir » enfin. Comment savoir si on est intoxiqué, que faire ? Où trouver des spécialistes pour vous aider ?

Mercure : suis-je intoxiqué.e ?

Le mercure, dont la dangerosité est telle qu’il est classé comme deuxième poison minéral après le plutonium, s’obtient par extraction et grillage d’un minerai, le cinabre. Seul métal liquide à température ambiante, le mercure a également la caractéristique d’être très volatil: songez que les amalgames dentaires voient «s’envoler» 50% de leur mercure en 5 ans!

Inscrivez-vous à
Pour ne rien rater
Notre lettre info
1 à 2 envois par mois