Depuis 1998, Rebelle-Santé recueille les trucs et astuces de santé de ses lecteurs et lectrices. Merci à toutes celles et tous ceux qui les partagent avec nous ; continuez à le faire, sur tous les sujets : beauté, santé, cuisine, jardin, enfants, animaux… Nous les transmettons avec grand plaisir au plus grand nombre.
Cholestérol et huile de colza
J’ai lu dans le n° 188 le truc de Mme G. du Bas-Rhin qui prend depuis quelques années une cuillerée à soupe d’huile de colza, le matin à jeun, contre le cholestérol. Elle dit que c’est un vrai miracle et que son médecin voudrait connaître son secret. Depuis combien d’années
No poo, un avis
Une lectrice donne elle aussi son expérience concernant le No poo : une autre façon de se laver les cheveux (voir article de Murielle Toussaint paru dans le n° 185). Des lectrices avaient déjà donné leur témoignage. J’ai testé le No poo – lavage des cheveux au bicarbonate (mais pas
Moxa et points d’acupression
Je voudrais vous donner la méthode que je pratique pour les points qui guérissent qui sont des points d’acupuncture (cette lectrice possède le livre « Les points qui guérissent » de Murielle Toussaint, NDLR). Je me sers d’un bâton moxa, c’est une sorte de gros cigare fait d’herbe d’armoise séchée et enveloppée
Des taches noires sur mes salades
Depuis trois ans environ, sur les feuilles de mes salades (frisées, scaroles), apparaissent des taches noires à partir de fin septembre et jusqu’à novembre. Quelles sont ces maladies ? En connaissez-vous les traitements ? » Arlette S. de Côte-d’Or LA RÉPONSE D’ANGELA DAVID Il existe différentes maladies qui provoquent des
Sinusite chronique
Je souhaite répondre à Mme G. de l’Ardèche qui souffre, entre autres, de sinusite chronique (rubrique des lecteurs en détresse du n° 191, NDLR).Mon docteur m’a donné un procédé efficace lorsque j’étais petite fille : chauffer le contenu d’un bol d’eau, ajouter du gros sel de mer (une petite poignée),
Impatiences et valériane
Depuis l’enfance, je souffre de jambes sans repos. Au début, c’était rare et ça ne durait pas longtemps. Puis, le malaise s’est aggravé. À partir de l’âge de 50 ans environ, rester immobile, assise ou couchée, devenait insupportable. Je redoutais les spectacles, les moments où on se trouvait toute une