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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Un chien allergique, ça existe  ?

Les humains n’ont pas le monopole des allergies ! Ainsi, des chiens peuvent être allergiques, le plus souvent aux aliments ou aux puces, mais parfois aussi aux chats – ou plus exactement à leurs poils – ainsi qu’aux squames de peau de leur maître !

Assez répandues, les allergies version canine (plus rarement féline), peuvent rendre la vie infernale à nos compagnons. Le plus souvent, ils en sont quittes pour des démangeaisons, au point de se lécher en permanence ou de se mordiller les extrémités des pattes, ou encore, de se frotter la tête sur le sol.

LA FAUTE À QUI ?
La liste des coupables potentiels est longue, mais certains sont plus souvent mis en cause que les autres. Les puces par exemple, sont fréquemment responsables de la Dermatite par Allergie aux Piqûres de Puces (DAPP) : une fois sensibilisé à la salive de ces indésirables, il suffit d’une seule autre piqûre de puce pour provoquer des démangeaisons généralisées.

QUAND ON CHERCHE, ON TROUVE !
Pour démasquer le ou les coupables, les tests cutanés sont les plus fiables. Une quinzaine de petites piqûres superficielles sont pratiquées — chacune contenant un allergène différent comme des acariens, des moisissures, des pollens, etc. — sur une peau préalablement rasée et, au bout d’une vingtaine de minutes, le vétérinaire regarde celles qui ont donné naissance à une plaque rouge ou un bouton.

UN TRAITEMENT DE LONGUE HALEINE !
L’idéal, c’est d’éradiquer l’allergène coupable. C’est faisable s’il faut juste empêcher que votre chien mange du bœuf. Mais c’est mission impossible s’il s’agit de pollens ou de puces, omniprésents dans la nature ! En cas d’allergies aux acariens, les acaricides vendus en pharmacie pour tuer ces indésirables dans notre environnement sont intéressants.
Toujours en cas d’allergie aux acariens, les vétérinaires peuvent proposer une désensibilisation, avec de bons résultats (80 % d’efficacité ou d’amélioration nette).

LE « PLUS » DES MÉDECINES DOUCES
De plus en plus de vétérinaires se tournent vers l’homéopathie, mieux tolérée.

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