Vive le mois d’avril !
Un mois qui commence par des blagues, c’est génial, non ?
Une jolie occasion de rire ensemble, adultes, enfants, amies et amis. Ne ratez pas ce moment, préparez avec les enfants de jolis poissons.
Rien de plus facile : des morceaux de papier coloré (le papier cadeau fait très bien l’affaire), sur lesquels vous tracez puis découpez des silhouettes de poissons recto-verso. Collez ensuite les deux moitiés de poisson ensemble, en insérant un fil entre elles, et ajoutez un œil rond. Le 1er avril, chacun trouvera un dos où se poser avec un bout de scotch… Ou bien ils iront se percher dans les arbres pour intriguer les oiseaux. Vous pourrez en profiter pour apprendre aux petits la célèbre chanson de Juliette Gréco, “Un petit poisson, un petit oiseau s’aimaient d’amour tendre…”.
En attendant, ils patienteront sagement dans un bocal ou au bout d’une canne à pêche !
Allez zou ! Dehors !
Au mois d’avril, les jours rallongent sensiblement, nous pouvons profiter de la lumière plus longtemps, la nature se réveille et ça, ça fait vraiment du bien. D’accord, ce mois coquin est capable de nous surprendre avec sa météo capricieuse, mais partons tout de même en promenade aussi souvent que possible, il y a tant de choses à voir et à observer que ce serait dommage de rater ça. Enfilons nos bottes et nos cirés, n’oublions pas les parapluies, et allons sauter dans les flaques d’eau. C’est bon pour le moral et la santé, c’est drôle et tous les enfants que je connais adorent ça.
Les premières récoltes
Une bonne salade de pissenlits tout frais, avec des croûtons à l’ail, quoi de meilleur ? Pensez à prendre avec vous un petit sac, des sachets en papier et des gants. Si vous avez la chance d’habiter la campagne, vous en profiterez pour faire vos premières récoltes et vous régaler de plantes sauvages en salades, sirops, quiches, cakes, soupes… (retrouvez des recettes ici).
Asperges sauvages, pousses de houblon, ail des ours ou ail sauvage, lierre terrestre, fenouil sauvage, bourrache, jeunes pissenlits, ortie, mâche sauvage, carottes sauvages, mouron des oiseaux, bourse-à-pasteur, alliaires, pâquerettes, violettes… Vous en trouverez déjà beaucoup à cueillir et à cuisiner, la nature est généreuse !
Tout est gratuit, mais soyez raisonnable et rapportez seulement ce que vous mangerez. Laissez toujours à la plante de quoi se développer et coupez proprement les tiges, aux ciseaux ou au sécateur. Veillez aussi à faire vos récoltes dans des endroits non pollués, loin des routes et des champs utilisant des pesticides et des engrais chimiques.
Et surtout, ne récoltez que ce que vous connaissez bien. Si vous n’identifiez pas une plante avec certitude, laissez-la tranquille. Vous pouvez toujours la prendre en photo et vous renseigner pour la prochaine fois, ou vous munir d’un bon guide de plantes sauvages comestibles.
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