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Vivre mieux et plus longtemps avec la pensée positive

Apparu au milieu du siècle dernier, le concept de « pensée positive » descend directement de la méthode Coué. Il ne s’agit pas de croire à tout et n’importe quoi ni de viser la lune, mais bien de rester dans un monde réaliste et de chercher à atteindre des objectifs réalisables. Pour commencer, mieux vaut s’entourer de personnes énergiques et positives car l’optimisme est contagieux. Si vous avez pour habitude de toujours mesurer les conséquences négatives ou de voir le « mauvais » côté des choses, changez d’angle de vue.

C’est souvent magique. Il y a ceux qui voient le verre à moitié plein, ceux qui voient le verre à moitié vide, et ceux qui prennent un peu de recul et qui remarquent la carafe pleine posée à côté. Devant un problème, plutôt qu’imaginer les obstacles possibles, pensez aux solutions envisageables. Ne fixez pas votre attention sur tout ce qui cloche, mais sur tout ce qui fonctionne bien…

Pour penser positivement, il faut faire preuve d’imagination et apprendre à visualiser ce que vous souhaitez atteindre comme objectif. Une récente étude américaine montre que l’optimisme et la pensée positive permettaient de vivre plus longtemps et en meilleure santé : 7,5 années de plus, en moyenne, chez les personnes qui avaient une perception positive du vieillissement.­­­­­­­

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Ce n’est pas la volonté qui est la première faculté de l’homme, mais son imagination” écrivait Emile Coué. Le mal-être ne se contente pas d’un ressenti désagréable, il s’exprime aussi au travers de symptômes physiques. Semblable à l’avers et au revers d’une même médaille, le corps souffre de son esprit. Voici l’infaillible méthode pour aller, chaque jour et à tout point de vue, de mieux en mieux !

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Les débats sur l’interdiction du glyphosate seraient-ils un leurre ? La molécule n’est sans doute pas la plus toxique parmi les produits qui composent le Roundup de Monsanto, mais c’est le seul déclaré. C’était déjà une des conclusions des recherches du Pr Gilles-Éric Séralini et de son équipe en 2005. À la suite d’une de ses nouvelles études sur les produits cachés dans les herbicides nouvelle génération commercialisés sans glyphosate, neuf associations de défense de l’environnement ont porté plainte le 1er décembre dernier auprès des autorités sanitaires.