Contre les verrues plantaires
Ce truc m’a été indiqué par un vieux médecin homéopathe qui le tenait d’un ami qui l’utilisa dans l’urgence en juin 1940. Le régiment de ce médecin devait battre en retraite pour éviter d’être capturé par les Allemands. Un soldat vint le trouver et lui expliqua qu’une verrue plantaire lui interdisait de marcher, alors qu’il lui fallait parcourir à pied plus de 40 kilomètres par jour ! Devant cette «urgence», le médecin lui fit une piqûre de Novacaïne au plus près de la verrue «pour endormir la douleur» et le soldat s’en alla. Quelques jours plus tard et bien des kilomètres plus loin, le médecin retrouva le soldat qui lui dit ne plus souffrir depuis la piqûre. La verrue semblait avoir été «tuée».
Revenu dans le civil, ce médecin appliqua sur ses patients cette méthode peu orthodoxe avec d’excellents résultats dès lors que le patient, dès la piqûre faite, marchait sur sa verrue suffisamment longtemps.
Quelques années plus tard, je fus victime moi-même d’une verrue plantaire et je demandai au remplaçant du vieil homéopathe (malheureusement décédé entre-temps) de m’appliquer ce traitement, ce qu’il fit. Je marchai le plus possible sur ma verrue «endormie» par la Novocaïne et, effectivement, mon problème disparut… pendant 3 ou 4 ans, avant de réapparaître ! Cette fois-ci, l’homéopathe préféra un traitement «moins exotique» et me prescrivit quelques doses de Silicea et de Thuya. Le résultat fut moins spectaculaire, mais plus définitif, puisque cela fait maintenant plus de 20 ans que cela a eu lieu. Je ne sais pas si mon histoire vaut d’être publiée, mais il me semble qu’elle a le mérite d’être plutôt originale (et véridique)!»
Truc envoyé par M. Claude B. des Alpes-Maritimes