Suivez l’actualité santé et environnement avec Sophie Lacoste. En bref !

Procès Pinar Selek : victoire d’étape après un 4e acquittement
Les lecteurs fidèles de Rebelle-Santé connaissent bien Pinar Selek, qui écrit dans le journal depuis huit mois et vit en exil en France depuis 2010. Pour les autres, rappelons que cette jeune femme, sociologue, écrivaine et militante, a dû quitter sa Turquie natale, victime d’un véritable harcèlement judiciaire tissé autour
25 génériques retirés des pharmacies
Ayant déjà entendu et lu quelques mises en cause récentes des médicaments génériques, dont on dit qu’ils sont fabriqués dans des pays en voie de développement sans les contrôles stricts a priori indispensables sur leur qualité, j’ai interrogé à ce sujet un spécialiste des autorisations de mises sur le marché,
Pour vous endormir, préférez les livres en papier !
C’est vrai, les tablettes, c’est bien pratique. Mais voilà, si vous les utilisez au moment de vous coucher, à la place d’un bon vieux livre en papier (qui peut être tout neuf d’ailleurs), votre sommeil en pâtira. Une nouvelle étude vient de montrer que les dispositifs de lecture qui émettent
#PayeTonUtérus et Gyn&Co
Sur twitter, des dizaines de femmes racontent leurs expériences malheureuses chez le gynécologue…L’une d’entre elles écrit : « Quand tu sursautes à cause d’un geste invasif (non annoncé) et qu’on te répond “Vous n’êtes pas là pour prendre du plaisir” »… Une autre relate son examen post-avortement : « On

Les médicaments, à la bonne heure !
La première fois que j’ai entendu parler de chronothérapie, c’est par le Pr Rapin, un grand monsieur décédé l’an passé. C’est lui qui m’a expliqué que les médicaments agissaient de manière plus ou moins efficace selon l’heure de prise. Lui aussi qui m’a dit qu’il valait mieux manger le beurre

Infections : des bactéries qui « font équipe » !
Des chercheurs de l’Université Vanderbilt (à Nashville, aux États-Unis) ont remarqué que si certaines bactéries étaient aujourd’hui résistantes aux antibiotiques, c’était, au moins en partie, parce que plusieurs colonies pouvaient se montrer solidaires en partageant et en échangeant différents nutriments. Elles peuvent se « tenir les coudes » à l’intérieur