Suivez l’actualité santé et environnement avec Sophie Lacoste. En bref !
DMLA : pas trop d’aspirine…
La prise régulière d’aspirine (parfois indiquée en prévention de troubles cardio-vasculaires) augmenterait les risques de souffrir de DMLA (Dégénérescence Maculaire Liée à l’Âge), première cause de cécité chez les personnes âgées. Ce sont les résultats d’une étude réalisée par des chercheurs de l’université de Sydney qui estiment qu’il faut reconsidérer
Des brocolis et des épinards contre l’ostéoporose
C’est parce qu’ils sont riches en vitamine K, nécessaire à l’ostéocalcine, une protéine osseuse, que les brocolis et les épinards sont si intéressants pour lutter contre l’ostéoporose. Ce sont les conclusions d’une étude de l’Institut Polytechnique Rensselaer publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS). Et ceci
Helicobacter Pylori : bénéfique aussi !
On reproche à cette petite bactérie de faire des trous dans notre estomac, mais il semblerait qu’elle ait aussi de bons effets : elle favorise le maintien du poids corporel et le contrôle de la glycémie, de la tolérance au glucose. C’est donc une arme anti-obésité et anti-diabète. Les chercheurs
Pour mincir, mangez par petites bouchées !
Au Pays-Bas, des chercheurs ont demandé à des volontaires de manger un bol de soupe en regardant un film d’animation de 15 minutes (drôle d’idée !). Certains devaient manger librement, d’autres s’efforcer de prendre de petites quantités à la fois, tous avaient le droit de manger autant de soupe qu’ils
Moins de protéines pour ralentir la maladie d’Alzheimer
Une étude de l’USC Davis School of Gerontology montre qu’une restriction protéique conduit, chez les malades d’Alzheimer, à une amélioration de la mémoire et au ralentissement de la progression de la maladie. Ceci s’expliquerait simplement par le fait que les protéines alimentaires sont le principal régulateur alimentaire d’une hormone de
Végétariens : 32 % de risques cardiaques en moins !
Les conclusions d’une grande étude menée par l’université d’Oxford (sur 45 000 Britanniques) publiées fin janvier dans l’American Journal of Clinical Nutrition montrent que les végétariens sont bien moins susceptibles que les mangeurs de viande et de poisson de souffrir de troubles cardiaques.Pour les chercheurs, les effets du régime végétarien