La mort n’est pas une fin…

C’est un sujet qui se chuchote, mais ne s’expose pas facilement. La peur et le déni s’installent vite quand on évoque la mort. Et si nous acceptions pour une fois d’en regarder la face lumineuse, celle qui porte l’espoir d’une continuité bien éloignée de nos façons de penser réticentes et quelque peu emprisonnées dans les préjugés ?

Anne Givaudan est une femme dont la conscience éclairée et le cœur pur lui permettent de transcender l’opacité de l’ignorance fondamentale. Vous savez, cette façon qu’en principe nous avons tous de ne porter crédit qu’à ce que nous appréhendons par nos sens. Mais de quoi est-il question au juste ? Pour vous répondre, voici le portrait d’une âme vouée au service de la paix et du bonheur.

CELLE QUI VOLE DANS L’ESPACE
Anne voyage beaucoup, mais ses moyens de locomotion ne sont pas ceux de tout le monde, l’esprit est son coursier, l’espace de la conscience sa destination. Une part d’elle-même accède aux mondes invisibles et aux êtres qui les peuplent. Devenue le témoin de la non-réalité de la mort, Anne Givaudan se fait messagère de la continuité de l’existence après l’anéantissement du corps. Dans ses livres et ses conférences, elle relate son expérience avec la simplicité de l’authenticité. Lorsqu’elle établit le contact entre le monde visible et les mondes invisibles, elle offre aux personnes en recherche les moyens ultimes de guérir leurs âmes blessées.

LA PUISSANCE INVISIBLE DE LA PENSÉE
La perte d’un être cher ouvre une brèche dans la matière humaine de ceux qui vivent ce déchirement. Lorsque cette souffrance perdure trop longtemps, elle se révèle alors potentiellement dangereuse pour ceux dont le chagrin ou la colère ont installé un refus de vivre.

Il peut nous arriver d’assister impuissants au départ volontaire d’un être poussé au bout de ce qu’il pensait pouvoir supporter. Dans son ouvrage sur l’âme des suicidés, Anne Givaudan traite ce sujet sensible avec toute la tendresse de son cœur généreux, mais pas seulement. Pour porter le message de vie de ceux qui ont quitté ce monde, elle devient le canal par lequel ils peuvent s’exprimer. Pionnière en la matière, Anne Givaudan parle de la vie après la mort dans le but de faire redécouvrir le sens heureux et profitable de l’existence.

À LIRE :
La rupture de contrat : message des “suicidés” au monde des “vivants”, d’Anne Givaudan aux éditions S.O.I.S. – 18,25 €

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