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La toxicogénomique obligatoire, c’est pour quand ?

La toxicogénomique consiste à étudier les effets d’une substance supposée toxique sur des cellules et d’en déduire, à partir de modèles mathématiques reliant composés chimiques et effets sur la santé, ce qu’il en est sur des êtres vivants. La vie de millions d’animaux, utilisés en laboratoire pour des tests de toxicologie, pourrait ainsi être épargnée chaque année. Des chercheurs de l’Institut national de santé de Besthesda aux USA, ont encore prouvé que les résultats ainsi obtenus étaient aussi fiables que les essais réalisés sur animaux : il y a donc urgence à agir. Alors, que font nos politiques ? (source : Le Point Vétérinaire).

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Nouvel espoir pour des milliers de tétraplégiques et paraplégiques du monde entier, le NeuroGel, un biomatériau synthétique, permettrait de refaire marcher les blessés médullaires porteurs de lésions anciennes, si l’on en croît son inventeur.

Linky, le refus qui monte

Nous vous avons déjà parlé des compteurs communicants (1) en évoquant notamment les inquiétudes liées à leur impact sur la santé. Devant les interrogations des usagers et l’augmentation du refus de ces objets communicants, nous nous sommes intéressés aux acteurs du mouvement anti-Linky et aux solutions juridiques pour échapper à ces appareils aussi indiscrets que perturbants.

Oui, les herbicides sans glyphosate sont aussi des poisons !

Les débats sur l’interdiction du glyphosate seraient-ils un leurre ? La molécule n’est sans doute pas la plus toxique parmi les produits qui composent le Roundup de Monsanto, mais c’est le seul déclaré. C’était déjà une des conclusions des recherches du Pr Gilles-Éric Séralini et de son équipe en 2005. À la suite d’une de ses nouvelles études sur les produits cachés dans les herbicides nouvelle génération commercialisés sans glyphosate, neuf associations de défense de l’environnement ont porté plainte le 1er décembre dernier auprès des autorités sanitaires.