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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

L’art sacré au service de la paix sur la Terre

Qui mieux que les traditions ancestrales peut connaître les mystères
de l’énergie de la Terre, comprendre les joies et les peines de la planète,

allant même jusqu’à recueillir les confidences de ses souffrances ?
L’esprit de Sagesse du Tibet s’est transmis de famille en famille
au fil des temps par l’art sacré des mandalas de sable colorés.
L’un d’entre eux, sans doute le plus précieux, est le Kalachakra.
Pour vous, le voile se lève sur la magie de la vie qui se rêve avant de se réaliser.

Kalachakra

C’est d’abord un mot sanscrit qui signifie roue, comme un disque qui tourne en décrivant les cycles de la Terre et du Ciel, révélant leurs multiples aspects. Le Kalachakra, mis en évidence par la science spirituelle tibétaine, déploie tout un ensemble d’éléments cosmogoniques propres à faire entendre la nécessité d’une culture d’amour et de paix entre les êtres humains, la nature et les éléments subtils qui composent l’énergie de la vie. Dans un but d’alliance harmonieuse entre tout ce qui existe sur la Terre, et pour que chacun puisse développer son potentiel de belles réalisations, le Kalachakra est devenu le grand message des temps nouveaux, une sorte de proposition visant à permettre l’union de toutes les forces vitales entre les humains et la nature pour réhabiliter le sens de l’existence d’une société en perte de repères. Toutes ces raisons font du Kalachakra la plus grande initiation spirituelle que l’on puisse expérimenter au cours d’une existence humaine.

De quoi s’agit-il exactement ?

D’un point de vue philosophique, Kalachakra exprime le sens de toute manifestation de l’énergie de la vie. Nous savons nous reconnaître dans les parties visibles de notre être par ce que nos cinq sens appréhendent de notre corps, de celui des autres et de toutes les apparences matérielles qui nous entourent. Cette propriété mentale nous autorise à définir nos choix et nos jugements sur ce qui est bon ou considéré comme nuisible selon notre appréciation. Nos sens physiques nous fournissent donc les preuves dont nous avons besoin pour nous définir et définir toutes choses. Loin de n’être qu’un composé de matière, le corps est animé d’une conscience qui passe au travers des sensations, des émotions, des pulsions et plus finement encore, des perceptions. Là est la partie immatérielle, invisible de l’être, celle dont toute organisation vitale dépend. Et bien que nous ne la voyions pas, nous sommes bien obligés d’y croire, tout comme nous croyons en nos pensées et en nos sentiments. Il existe donc en nous une partie visible et l’autre invisible qui se trouve être la plus importante car elle est celle qui donne et qui maintient la vie. Est-il juste de penser que cet ordre dont l’évidence est indéniable n’est réservé qu’à l’être humain et à sa dimension terrestre ? Évidemment non, alors pourquoi et qu’existe-t-il d’autre dans la phénoménale organisation de la vie de si important à savoir pour obtenir la réalisation la plus chère à nos cœurs ? La réponse en détail nous est apportée par le Kalachakra.

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Les mandalas

Généralement, prononcer le mot « mandala » nous fait nous projeter dans une autre culture, avec notamment comme référence les traditions tibétaine et hindoue. Or, depuis des temps immémoriaux, tous les peuples pratiquent cet « art », ce mode d’expression symbolique qu’est la représentation autour d’un centre, qu’il s’exprime par de simples cercles ou sous forme de figures géométriques complexes et élaborées. Mais que sont au juste les mandalas et à quoi servent-ils ? S’agit-il d’art, de rituels, d’expression du sacré ?

Par Angela David et Elisabeth Le Berre

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