Le défi de la guérison
Il est une question essentielle que chacun devrait se poser lorsque, confrontés aux mêmes symptômes, certains parviennent à guérir et d’autres pas. Quels phénomènes psycho-physiques servent de déclencheurs à l’apparition d’une maladie et quels autres prédisposent au soulagement, voire à la guérison ? Cet article entreprend de faire le point sur une question majeure dont les réponses fournies par l’approche médicale contemporaine ne semblent pas satisfaire tout le monde.
Découvertes
Lorsque l’aspect psychologique de la personne est pris en compte, on observe, au travers des différents comportements internes, un ensemble de réactions propres à chacun produisant des effets similaires à la cause. Autrement dit, il est toujours question d’implication personnelle relevant d’un état d’esprit dans l’évolution d’une maladie. Les dernières découvertes scientifiques le confirment, en déclarant l’évidence de l’impact, sur l’état de la santé, d’un fonctionnement mental résolument positif ou son contraire. La manière dont une personne reçoit, accueille ou rejette la maladie venue l’affliger est déterminante sur la progression vers la guérison ou la stagnation de sa santé. Il est désormais bien entendu qu’à la suite de la violence d’un choc émotionnel ou de perturbations mentales résultant de conflits intérieurs profonds non résolus, des risques élevés de fragilisation du système immunitaire peuvent apparaître, ouvrant ainsi plus largement la porte aux malaises et aux maladies. Les variations brutales ou constantes du comportement psychique déstabilisent l’organisation ordonnée de la santé, c’est à n’en pas douter.
Se responsabiliser
Nous sommes les meilleurs garants de notre santé lorsque nous devenons responsables de nous-même à part entière. Que l’on se sente soignant dans l’âme engagé par vocation au service des autres ou en recherche d’équilibre personnel, dans les deux cas nous devons commencer par apprendre à agir sur notre propre terrain d’évolution. Là est toute la cohérence de la mission de vie de chacun. La responsabilité personnelle est de ce fait la première clé de la santé. L’entretien quotidien d’une saine relation avec nos propres cellules marque le début et la continuité harmonieuse de notre assurance-santé.
Il est un langage secret qui échappe au premier niveau de compréhension. Émis par les mots de l’inconscient, stimulé par la tutelle de la volonté d’être, il concourt à notre bien-être lorsque le mental s’apaise pour laisser s’exprimer l’énergie guérisseuse de la vie. En accord avec le principe créatif et bienfaisant dont chaque cellule est pourvue, il en résulte un courant de confiance dans les échanges au sein de l’organisation cellulaire. Agissant tel un langage commun s’adressant à l’intelligence corporelle, les cellules enregistrent les informations positives et bénéfiques à la vie que leur transmettent nos états d’être. Se responsabiliser est la première pierre posée à la construction de l’édifice d’une santé durable et équilibrée.
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