Le sédum d’automne
J’ai descendu dans mon jardin… Vous rougissez ma Dame Enlacée dans mes bras. Votre chair rebondie Entre mes lèvres fond. Embrasement d’automne Dans un tapis de jade. Le sédum d’automne Nom commun : sédum ou orpin remarquable, grand sédum, orpin des jardins.Genre et espèce : Hylotelephium spectabile, autrefois Sedum spectabile.Famille : CRASSULACEAE : plantes herbacées, rarement
Le marronnier d’Inde
Grand ami des veines, anti-inflammatoire, anti-hémorragie, c’est un chouchou des phytothérapeutes. Les feuilles obturent les bouches d’égout des villes mais embellissent les sols forestiers des régions. On me dit d’Inde alors que je viens d’Albanie et de Grèce. Je suis entré par la grande porte à la cour des plus
8 raisons de laisser jouer les enfants au milieu des arbres
Dessous, dedans, dessus, les enfants adorent jouer avec les arbres. Et c’est heureux car la liste des bienfaits est interminable. La science l’a prouvé : c’est bon pour le corps, l’esprit, les nerfs, le sommeil, la respiration, le développement, la vitamine D, le métabolisme… ! 1. Découvrir « un autre » Cheminer
Le silène à feuilles larges
J’ai descendu dans mon jardin… « à califourchon sur mon âne, je fuis pour trouver l’ivresse, non dans cette coupe qui m’accompagne sans cesse, mais dans la fraîcheur des sources et des ruisseaux. Ainsi, pendant un instant, loin du tumulte, j’oublie les épreuves et les tourments, en laissant simplement l’eau vive
Le cornouiller sanguin
Digne et droit comme un i en plein soleil, doté d’une circulation « sanguine », proie des flammes, il nous offre astuces et molécules thérapeutiques de saison. C’est drôle comme cet arbre est un grand soigneur sous forme de gouttes de macérât en gemmothérapie, mais plutôt toxique à l’état naturel : on ne consomme
Arbres : leurs parades anti-feu et anti-canicule
Stratégiques, les arbres gèrent avec élégance, résilience et intelligence les affres estivales. Pour autant, eux aussi souffrent et sont fragilisés par les épisodes de forte chaleur. Et ne sont pas invincibles puisqu’en 2022, 10 % des sapins vosgiens ont capitulé face à la sécheresse. N’empêche, ils s’en sortent mieux que