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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

PHYTOMODULATEURS HORMONAUX

Solutions naturelles aux troubles liés à la ménopause

Parce qu’un traitement hormonal substitutif leur est contre-indiqué, parce qu’elles ne l’ont pas supporté ou qu’elles ne souhaitent pas l’essayer, certaines femmes cherchent dans la nature des solutions aux troubles liés à la ménopause.

Outre les isoflavones de soja, la nature met à notre disposition de nombreuses molécules naturelles utiles pour passer en douceur le cap de la ménopause. Le fait de ne pas vouloir ou ne pas pouvoir prendre des hormones féminines de synthèse ne condamne pas les femmes à devoir supporter les désagréments de la ménopause.
Depuis quelques années leur sont proposées des alternatives naturelles : des plantes ou extraits de plantes contenant des molécules très proches des hormones féminines, mais dont on n’a pas à craindre d’effets secondaires nocifs.

PRÉCURSEURS OU RÉGULATEURS ?
Après avoir considéré les végétaux riches en « hormones végétales » comme des précurseurs : principalement le soja précurseur des œstrogènes et le yam précurseur de la progestérone, on préfère maintenant ne plus considérer qu’une seule catégorie de plantes utiles au moment de la périménopause et de la ménopause : les phytomodulateurs hormonaux.

Les phytomodulateurs hormonaux comme le yam ou d’autres plantes contenant des hormones végétales (soja, sauge, trèfle rouge, luzerne…), augmentent le nombre de récepteurs aux œstrogènes et à la progestérone. Ces végétaux agissent également sur les récepteurs cellulaires qui, de ce fait, utilisent mieux les hormones dont dispose encore l’organisme.

LES DOSAGES
En général, on recommande de prendre les compléments alimentaires destinés à faciliter la ménopause dès la périménopause (quand les règles deviennent irrégulières et que les premiers signes apparaissent), et de continuer durant plusieurs années. Les dosages dépendent des mélanges et des concentrations d’actifs et sont indiqués sur les produits eux-mêmes.
En cas d’antécédent de cancer hormono-dépendant, demandez conseil à à votre médecin.

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Aujourd’hui, il est de notoriété publique que le traitement hormonal substitutif (THS) n’est pas sans risque pour notre santé. Il augmenterait notamment le risque de cancer du sein et de l’utérus. Faut-il pour autant accepter sans broncher les divers troubles de la ménopause? NON. Heureusement, la nature à tout prévu et de nombreuses plantes sont en mesure de nous aider à passer ce cap en douceur et en pleine santé. Belle-Santé fait le point sur les hormones végétales et leur mode d’action.

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