Soutien-gorge ou non ? Suite…
Je profite de l’envoi de ma demande de graines pour vous faire part du regret de ne pas avoir réagi de suite en faveur de l’article “La mode et l’énergie vitale” de Mme Bernet (paru dans la revue n° 149 d’octobre). En effet, je voulais le faire pour dire que j’avais trouvé cet article fort intéressant et que cela allait tout à fait dans le sens de ma propre expérience tirée de mes observations. Je découvre dans le dernier numéro (n° 150 p. 22, NDLR) une critique de cet article, et j’en suis navrée. Je souhaite faire savoir que j’ai mis fin à des douleurs intercostales chroniques et pénibles en supprimant totalement les soutiens-gorge à armatures (baleines) et ce depuis 5 ans. Avant, je ne “tenais” plus au-delà de 18 heures : il fallait absolument que j’enlève ce carcan avec un petit soulagement de quelques heures. La nuit, les douleurs citées plus haut revenaient comme une “empreinte” laissée par les armatures. Je vis beaucoup mieux depuis que le problème est résolu. Certes, les modèles sans armature ne sont pas très jolis, et il faudrait que les fabricants fassent des efforts pour inciter les femmes, qui sentent des tensions intercostales et des gênes au niveau du diaphragme, à sauter le pas. Rien n’interdit de remettre ses beaux soutiens-gorge à armatures le week-end ou à certaines occasions… en attendant la création d’une belle ligne “confort” par un fabricant plus intelligent que ses concurrents et qui saurait déceler qu’il y a là, j’en suis sûre, un vrai marché. Combien de femmes s’obligent-elles à supporter les armatures et à se maltraiter pour continuer à porter une belle lingerie pour leur mari, amant, copain, etc. ? Je suis sûre qu’il y en a plus que l’on croit, mais elles occultent cette réalité pour être “in”. Moi, j’ai fait le choix de ma santé, et mon compagnon me comprend parfaitement : il m’a vue assez souffrir avant. Donc, je remercie Mme Bernet pour cet éclairage qui n’est pas une vue de l’esprit. Nous ne sommes pas toutes concernées bien sûr, mais la loi énergétique est la même pour toutes. »
Claire D. de Charente-Maritime
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