Vaccination contre le cancer du col de l’utérus : réaction
Petit complément à l’article sur la vaccination contre les papillomavirus
Michel Georget, biologiste, auteur du livre « Vaccinations : les vérités indésirables », réagit à l’article sur la vaccination contre les papillomavirus, paru dans le numéro 109 de Belle-Santé.
Article écrit par : Michel Georget
Je voudrais apporter quelques compléments à l’excellent article paru dans le N° 109 (octobre 2008) sur la vaccination contre l’infection du col de l’utérus. Il faut s’attendre à plusieurs conséquences de cette vaccination.
Une modification de l’équilibre écologique des virus
Si la vaccination est réellement efficace, elle va entraîner une diminution des souches des papillomavirus visés par les vaccins (les 16 et 18), mais, la nature ayant horreur du vide, la place ainsi laissée libre sera occupée par les autres souches connues pour être également cancérigènes, à savoir les types 45 et 31 (les plus dangereux) mais aussi les types 33, 35, 39, 51, 52 et 58 qui sont, à eux tous, responsables de 25 % des cancers du col.
Les effets à court terme
Comme il est signalé dans le précédent article, plusieurs décès enregistrés aux Etats-Unis ont été causés par des thromboses. Internet relate le cas d’une jeune fille ayant souffert de violentes douleurs abdominales après une injection de Gardasil®. Son médecin lui a prescrit une analyse sanguine qui a révélé un taux important de D-dimères. Ces molécules sont des produits de dégradation de la fibrine, le constituant essentiel des caillots sanguins. Leur taux normal est de 500 mg/litre. Un taux supérieur peut être un signe annonciateur de thrombose ; dans ce cas, la démarche diagnostique doit impérativement être poursuivie. Pour les jeunes femmes qui souhaitent se faire vacciner, un contrôle de ce type peut être une bonne précaution, surtout si elles fument et prennent la pilule.
Les effets à long terme ?
Il faut savoir que, d’une façon générale, pour les vaccins, les études de cancérogénicité, de génotoxicité ou de mutagenèse ne sont pas requises avant leur mise sur le marché. Des effets indésirables pourraient donc survenir également à la génération suivante. Souvenons-nous du Distilbène® qui a été prescrit à des femmes dans les années 60 et dont les filles (et même les petites-filles aujourd’hui) souffrent d’anomalies et/ou de cancers de l’appareil génital.
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