Coqueluche et baptême de l’air, suite…
Dans Belle-Santé de mai 2010, vous proposez un baptême de l’air en cas de coqueluche. Étant ancienne pilote, je vous confirme effectivement l’efficacité de ce remède mais à condition que le vol soit effectué dans un appareil non pressurisé, c’est-à-dire un petit avion par exemple d’aéro-club. L’appareil que vous présentez dans cet article est certainement pressurisé à environ 2 000 m, ce qui ne sert à rien dans le cas exposé, puisque le minimum requis est de 3 000 m. »
Monique R. du Haut-Rhin
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