Suivez l’actualité santé et environnement avec Sophie Lacoste. En bref !

Défrisage : le risque de cancer de l’utérus augmenté
Aux États-Unis, une étude menée auprès de 30 000 femmes a permis de mesurer l’impact de l’utilisation de produits de défrisage sur la santé. Après un suivi de 10 ans, les résultats ont été publiés dans le Journal of the National Cancer Institute. Parmi les 30 000 femmes, 357 ont développé

Essure®, des implants contraceptifs pas si anodins…
En 2017, nous avions déjà parlé de ces petits ressorts placés à l’entrée des trompes de Fallope pour une stérilisation présentée comme hyper efficace, rapide et sans inconvénient. À l’époque, le président du Collège national des gynécologues et obstétriciens de France s’inquiétait pourtant des conséquences possibles de la technique :

Homicide : première cause de mortalité des femmes enceintes aux États-Unis
Chez les femmes enceintes, les risques mortels sont généralement liés à des problèmes de santé : l’hypertension, les hémorragies ou la septicémie. Mais aux États-Unis, il y a pire : les homicides. C’est la première cause de décès des femmes enceintes là-bas, d’après une enquête publiée par le British Medical Journal.

Contre le cancer colorectal : moins de viande transformée et davantage de végétaux
Aux États-Unis, le nombre de cancers colorectaux chez les moins de 50 ans progresse d’environ 2 % par an depuis 2009. Des chercheurs américains ont présenté une étude lors du congrès annuel de la société américaine d’oncologie clinique (ASCO) montrant que cette croissance du nombre de cas pourrait être liée

Le confinement n’a pas encouragé la natalité
En mars et avril 2020, en Europe, nombre de couples se sont retrouvés en tête-à-tête sans avoir le droit de sortir de chez eux ou presque. Cette promiscuité forcée aurait pu provoquer une hausse de natalité 9 mois plus tard. C’était sans compter sur le grand ménage de printemps, les

Scandale : l’Agence du Médicament (ANSM) connaissait les risques
Tout a commencé en mars 2017 quand, à la suite d’une demande de l’Agence du Médicament, le laboratoire Merck a commercialisé une nouvelle formule du Levothyrox® – ce médicament était alors prescrit quotidiennement aux personnes souffrant d’hypothyroïdie, soit 3 millions de patients en France. L’idée, c’était de garder le même