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La pollution lumineuse est un perturbateur endocrinien

C’est même l’Académie nationale de Médecine qui le dit ! Dans son rapport publié le 29 juin dernier, elle demande aux pouvoirs publics de s’en préoccuper enfin. Il y a, bien entendu, le temps passé sur les écrans lumineux, qui perturbent notre horloge biologique en s’opposant à la sécrétion de mélatonine, l’hormone du sommeil. Mais il y a aussi l’éclairage nocturne. Une étude publiée dans la revue médicale Cancer Causes & Control montre par exemple qu’il y a davantage de cancers du sein dans les quartiers éclairés des villes par rapport à ceux qui ne le sont pas, et ceci dans 164 pays. La différence est de 30 à 50 %. Si, chez vous, les rues restent éclairées toute la nuit, n’hésitez pas à en parler à votre municipalité.

Retrouvez l’article de Lucie sur le sujet dans le numéro 237.

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Pour aller plus loin

La protection de la nuit, un enjeu pour l’ensemble du vivant

Éteignez les lumières ! En France, la production de lumière artificielle a quasiment doublé en vingt ans. La pollution lumineuse devient un problème sérieux qui concerne l’ensemble du vivant. Médecins, scientifiques, biologistes, astronomes tirent la sonnette d’alarme pour faire valoir les bienfaits de la nuit. La lutte pour l’obscurité est devenue essentielle mais s’oppose à des traditions millénaires de culte de la lumière.

Oui, les herbicides sans glyphosate sont aussi des poisons !

Les débats sur l’interdiction du glyphosate seraient-ils un leurre ? La molécule n’est sans doute pas la plus toxique parmi les produits qui composent le Roundup de Monsanto, mais c’est le seul déclaré. C’était déjà une des conclusions des recherches du Pr Gilles-Éric Séralini et de son équipe en 2005. À la suite d’une de ses nouvelles études sur les produits cachés dans les herbicides nouvelle génération commercialisés sans glyphosate, neuf associations de défense de l’environnement ont porté plainte le 1er décembre dernier auprès des autorités sanitaires.

Académie des sciences : le scandale des OGM

L’académicien Paul Deheuvels, pourtant éminent spécialiste en statistique, n’a pas été consulté lorsque l’Académie des Sciences a publié un communiqué discréditant les résultats de l’étude sur les OGM, menée par Gilles-Eric Séralini. Ulcéré par ces méthodes, Paul Deheuvels revient sur cette affaire où pressions et conflits d’intérêts ont pris le dessus.