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L’andrographis

Pour éviter les infections respiratoires

L’andrographis, également appelée « échinacée d’Inde », est employée depuis des siècles en médecine orientale pour soigner le rhume, la grippe et la pharyngite. De nombreuses études sont venues confirmer ses vertus.

Et contre d’autres types d’infections

Outre les problèmes respiratoires, l’andrographis peut soulager certains troubles et, là aussi, la science est venue appuyer les usages traditionnels orientaux. Elle peut en effet soigner la dysenterie et, plus généralement, la diarrhée, et des essais sur les animaux ont montré qu’elle était hépatoprotectrice. Par ailleurs, une étude réalisée en 2009 a montré que la plante, sous forme d’extrait concentré, soulageait plusieurs des symptômes de la polyarthrite rhumatoïde, sans doute grâce à son activité antiinflammatoire.

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Pour aller plus loin

Pour nous prémunir du risque de nouvelles pandémies…

« Voir un lien entre la pollution de l’air, la biodiversité et la Covid-19 relève du surréalisme, pas de la science », déclarait Luc Ferry dans L’Express du 30 mars 2020, contredisant ce qu’affirme pourtant la soixantaine de scientifiques du monde entier que Marie-Monique Robin a pu interroger pendant le premier confinement. Son livre La Fabrique des pandémies réunit ces entretiens dans une enquête passionnante qui explique comment la déforestation, l’extension des monocultures, l’élevage industriel et la globalisation favorisent l’émergence et la propagation de nouvelles maladies. Non seulement la pandémie de Sars-CoV-2 était prévisible, mais elle en annonce d’autres.

Les épices de santé

Qu’est-ce qui fait l’une des grandes richesses des cuisines indiennes et thaïlandaises, entre autres ? L’art subtil de manier les épices, bien sûr ! Partie intégrante de la tradition gastronomique de la plupart des pays du Sud, ces dernières n’ont pas leur pareil pour relever subtilement les mets, même les plus simples.

Oui, les herbicides sans glyphosate sont aussi des poisons !

Les débats sur l’interdiction du glyphosate seraient-ils un leurre ? La molécule n’est sans doute pas la plus toxique parmi les produits qui composent le Roundup de Monsanto, mais c’est le seul déclaré. C’était déjà une des conclusions des recherches du Pr Gilles-Éric Séralini et de son équipe en 2005. À la suite d’une de ses nouvelles études sur les produits cachés dans les herbicides nouvelle génération commercialisés sans glyphosate, neuf associations de défense de l’environnement ont porté plainte le 1er décembre dernier auprès des autorités sanitaires.