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Le café vert

Pour lutter contre diabète et surpoids

Venu du Yemen ou d’Éthiopie, où des caféiers poussaient à l’état sauvage, le café fut d’abord un remède utilisé en décoction (de feuilles et de fruits) par les Arabes.

Le caféier est un arbuste à fleurs blanches dont les petits fruits, en forme de cerises, mûrissent en 8 à 10 mois et deviennent rouges puis grenat. C’est à l’intérieur du fruit que se cachent les grains (deux par fruit). La récolte a lieu en automne-hiver, à la main en Amérique centrale, avec un grand peigne au Brésil et en Afrique. On enlève ensuite la pulpe des fruits et on laisse sécher les grains une dizaine de jours au soleil (ou moins, dans des fours). Puis, on retire la petite pellicule argentée qui les recouvre : on obtient ainsi le café « vert ». Un caféier produit environ 2,5 kilos de fruits par an dont on tire environ 500 grammes de grains verts.

CONTRE LE DIABÈTE
Des scientifiques ont cherché ce qui, dans le café, pouvait bien avoir un tel effet sur la glycémie, et ont découvert l’intérêt des acides chlorogéniques. On en trouve dans le café, dans les pommes, les cerises, les prunes… Mais, surtout, c’est dans le café vert, qui n’a pas subi de chauffage à haute température (torréfaction), qu’ils sont particulièrement concentrés.

POUR MINCIR AUSSI
Outre le diabète, le café vert permet de lutter contre le surpoids.

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Pour aller plus loin

Pour nous prémunir du risque de nouvelles pandémies…

« Voir un lien entre la pollution de l’air, la biodiversité et la Covid-19 relève du surréalisme, pas de la science », déclarait Luc Ferry dans L’Express du 30 mars 2020, contredisant ce qu’affirme pourtant la soixantaine de scientifiques du monde entier que Marie-Monique Robin a pu interroger pendant le premier confinement. Son livre La Fabrique des pandémies réunit ces entretiens dans une enquête passionnante qui explique comment la déforestation, l’extension des monocultures, l’élevage industriel et la globalisation favorisent l’émergence et la propagation de nouvelles maladies. Non seulement la pandémie de Sars-CoV-2 était prévisible, mais elle en annonce d’autres.

Oui, les herbicides sans glyphosate sont aussi des poisons !

Les débats sur l’interdiction du glyphosate seraient-ils un leurre ? La molécule n’est sans doute pas la plus toxique parmi les produits qui composent le Roundup de Monsanto, mais c’est le seul déclaré. C’était déjà une des conclusions des recherches du Pr Gilles-Éric Séralini et de son équipe en 2005. À la suite d’une de ses nouvelles études sur les produits cachés dans les herbicides nouvelle génération commercialisés sans glyphosate, neuf associations de défense de l’environnement ont porté plainte le 1er décembre dernier auprès des autorités sanitaires.