Le scandale des vaccins contre le cancer du col de l’utérus
En octobre 2008 déjà, nous avions publié un article intitulé « Vaccination contre le cancer du col de l’utérus : l’envers du décor ». Trois ans plus tard, les effets secondaires possibles se sont dramatiquement confirmés…
LE SCANDALE DE GARDASIL® & CERVARIX®
Encore trop peu de gens le savent : le Gardasil® et son concurrent, le Cervarix®, figurent sur la liste des produits sous surveillance renforcée de l’Afssaps (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé).
TELLEMENT DE NON-DITS
En France, selon l’Afssaps, 4 millions de doses de Gardasil® et 106 000 doses de Cervarix® ont déjà été distribuées. Pourtant, combien de jeunes filles vaccinées savent, par exemple, qu’au cours des essais cliniques, la tolérance du Gardasil® a été évaluée de façon très discutable sur un échantillon assez limité et pas plus d’un mois après la troisième injection ? Ou encore que seuls 27 % des jeunes filles participant aux essais ont effectivement reçu le schéma complet en 3 doses ? Combien savent aussi que le Cervarix® contient un nouvel adjuvant encore jamais utilisé jusqu’ici, comme l’a reconnu le Conseil Supérieur belge de la Santé dans un rapport de 2007, et que les effets secondaires de ce vaccin sont notamment évalués comparativement à un groupe ayant reçu le vaccin anti-hépatite B de GSK (Engerix B®), lui-même accusé de provoquer quantité de maladies auto-immunes ?
Interrogé par M6 pour un reportage sur « les nouveaux jackpots de l’industrie pharmaceutique », le Dr René Guirette, médecin généraliste en région parisienne, estime que le Gardasil® a été lancé sans études de grande ampleur et qu’il s’agit en fait d’un « essai grandeur nature sur des gens non consentants », ce qui constitue en réalité la définition d’une expérimentation et relèverait donc à juste titre du Code de Nuremberg.
Dans le même reportage, le Pr Daniel Floret, président du comité technique des vaccinations, semblait très mal à l’aise par rapport à la décision du Ministre de la Santé Xavier Bertrand qui était personnellement intervenu pour hâter le remboursement du vaccin en mars 2007 avant même d’avoir reçu l’avis des experts. Une décision que le Pr Floret n’a pas souhaité commenter. Pas plus que le Ministre lui-même, qui a refusé toute interview sur le sujet.
DES EFFETS SECONDAIRES…
Le Monde du 12 juillet dernier faisait état des premières demandes d’indemnisation de victimes françaises du Gardasil®. Libération du 27 juillet titrait « Calvaire post-vaccin » pour raconter le cas de l’une d’entre elles : Laetitia Celli. Vaccinée en 2007 parce que sa maman croyait bien faire, Laetitia n’est plus que l’ombre d’elle-même : elle ne supporte plus le bruit, la lumière, elle fait de multiples syncopes, souffre de douleurs abdominales insoutenables et n’est même plus capable de voyager une heure sans vomir tout son saoul. Mais elle est loin d’être la seule.
Les premières demandes d’indemnisation des victimes françaises du Gardasil ont été déposées en France en juillet 2011.
La controverse s’est étendue au monde entier. Que ce soit en Inde où une députée communiste, Brinda Karat, a demandé et obtenu l’arrêt immédiat des essais cliniques du Gardasil® qui ont entraîné 7 décès et 120 effets indésirables graves, ou aux Pays-Bas où une équipe de chercheurs de l’Erasmus Medical Center estime infondé d’inclure ces vaccins dans le calendrier vaccinal, en passant par le Rwanda où certains journalistes s’indignent que leur population serve de cobaye. Aux USA où plus de 22 000 effets secondaires graves et 90 décès ont été officiellement recensés, deux jeunes, dont des proches ont été victimes du Gardasil®, sillonnent le pays pour réaliser le documentaire « One more Girl », prévu pour 2012, sur cet énième scandale sanitaire. En attendant, la Commission européenne a récemment donné son feu vert pour une autorisation du Gardasil® chez les garçons jusque 26 ans, pour la prévention des verrues génitales et des lésions anales précancéreuses !
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