communauteSans
Communauté
boutiqueSans
Boutique
Image décorative. En cliquant dessus, on découvre les différents abonnements proposés par Rebelle-Santé
S’ABONNER

La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Magnésium

Pour rester en forme, chacun d’entre nous doit absorber en moyenne 300 mg par jour de ce minéral. Malheureusement, nos sources alimentaires en magnésium se raréfient, et les problèmes provoqués par le manque de magnésium se multiplient.

Dans l’organisme, le magnésium intervient dans de nombreuses réactions. C’est un tonique général et un régénérateur cellulaire. Il équilibre le système nerveux, favorise la décontraction musculaire, renforce les défenses naturelles de l’organisme et participe activement à la lutte contre le vieillissement.

POURQUOI EN MANQUE-T-ON ?
C’est simple : l’organisme en “brûle” beaucoup et notre alimentation moderne nous en apporte peu.
Les farines sont trop raffinées et le magnésium en est éliminé… Nous nous contentons de pain blanc vidé de ses nutriments essentiels ! Le magnésium des légumes verts se dissout dans l’eau de cuisson (à moins que  vous ne cuisiniez à la vapeur…). Le sel de cuisine commercialisé est le plus souvent privé de son magnésium pour des raisons de conservation. Chacun n’a pas la possibilité de consommer régulièrement des fruits de mer. Quant aux fruits secs et au chocolat, leur teneur calorique fait fuir tous les adeptes de la minceur.
Bref, tout concorde à nous faire manquer de magnésium tandis que les agressions extérieures se multiplient (pollution, bruit, soucis, etc.), augmentant en parallèle les besoins de ce sel minéral pour lutter contre le stress.

LES PRINCIPALES INDICATIONS
Stress, mal de vivre, anxiété, angoisse, pessimisme, idées noires, inquiétude, fatigue physique et intellectuelle, problèmes de sommeil ou de concentration, mémoire défaillante, maux de tête, problèmes de peau et de circulation, tremblements, crampes, spasmophilie… sont autant de malaises liés au manque de magnésium.

Pour lire la suite

Déjà abonné·e, connectez-vous !

Magazine

À lire aussi

La spasmophilie

J’ai été spasmophile pendant plusieurs années. Au point de ne même pas arriver à passer la porte de ma maison pour aller chercher mon courrier. J’ai eu aussi beaucoup de crises de peur panique, surtout quand je devais attendre aux caisses par exemple, ou dans des salles d’attente. J’étais alors obligée d’aller m’isoler, dès que je sentais la crise venir (sueurs, palpitations, mes jambes qui flageolaient, l’impression que j’allais tomber par terre et mourir). J’avais aussi très souvent des maux de ventre, des périodes alternées de diarrhées et de constipation.» Catherine.

Inscrivez-vous à
Pour ne rien rater
Notre lettre info
1 à 2 envois par mois