Circulation veineuse
Pour mieux comprendre les difficultés de notre circulation, il faut savoir que le cœur agit comme une véritable pompe aspirante et foulante : il reçoit le sang venu des veines et le dirige d’abord dans les poumons, où se font les échanges gazeux. C’est là, grâce à la respiration, que le gaz carbonique est rejeté, remplacé par l’oxygène. Le sang, ainsi revivifié, revient ensuite au cœur, puis il est envoyé dans les artères, qui le répartissent à tous les tissus de l’organisme.
Grâce à leur élasticité et à leur contractilité, les artères facilitent, en le prolongeant, le travail du cœur. À chaque contraction du cœur, le sang est projeté avec force dans l’aorte. Grâce à son élasticité, cette grosse artère se dilate, puis, en revenant à son calibre initial, elle chasse le sang dans les artères voisines, celles-ci se dilatent à leur tour et, par le même mécanisme, poussent le sang vers les extrémités. Le mouvement se propage ainsi par ondes successives jusqu’aux artérioles et enfin aux capillaires, où l’oxygène est « distribué » aux tissus.
L’élasticité des artères diminue au fur et à mesure que l’on s’éloigne du cœur. Une fois que le sang a échangé son oxygène contre du gaz carbonique, il doit faire le trajet inverse et repartir au cœur… C’est là que les choses se compliquent. Car, même si le cœur « aspire » le sang vers lui et si des muscles soutiennent les grosses veines et artères, l’élasticité des vaisseaux, en particulier les plus éloignés du cœur, est également capitale pour le retour veineux. Avec le temps, malheureusement, la tonicité n’est plus forcément au rendez-vous… Et ce retour veineux difficile se manifeste par des symptômes bien connus : jambes lourdes, œdèmes, ou hémorroïdes. Pour les solutions naturelles, reportez-vous aux paragraphes concernés.
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