“Ma fille a souffert d’un lumbago avec sciatique, une de ses amies lui a posé des ventouses. 2 ou 3 séances et le problème a été réglé. Ma mère, née en 1905, en faisait très souvent pour mon père, en cas de bronchite et de souci de gorge (extinction de voix). Je me souviens du dos de mon père avec des rondelles rouges…”
Un article a été consacré aux ventouses dans Rebelle-Santé n° 217.
Ces deux éléments se conjuguent harmonieusement pour accueillir le principe vital, le réchauffer et l’éclairer, le nourrir et le faire mûrir. L’interdépendance qui relie entre eux tous les constituants de la nature s’active de manière égale en chaque être vivant. Parce que l’été est la saison de la liberté, elle est aussi la plus appropriée pour nous permettre d’exercer notre créativité et d’évoluer dans le rayonnement de sa luminosité.
Petite madeleine d’un passé lointain, la médecine des ventouses avait été rangée dans le décorum des vieilleries « bonnes pour la casse » ! Après des décennies de bons et loyaux services, cette technique ancestrale s’était fait brutalement voler la vedette par des traitements, chimiques, plus jeunes, plus costauds et plus performants.
Article écrit par Alix Leduc
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