Vivre et guérir par la musique

Par toutes ses expressions, la musique permet de rêver, chanter, danser et même travailler. Par son soutien, elle est l’amie qui accompagne en donnant tout sans rien attendre. Correspondant à la vie, ses vibrations s’impriment à chaque instant dans l’élan du vent, le crissement des graviers où l’on marche, le déplacement d’un oiseau dans l’espace, le son d’une feuille qui se pose sur le sol… Tout est musique, la vie en est témoin. Ensemble, laissons-nous transporter.
Qu’est-ce la musique ?
Par le phénomène vibratoire qu’elle engendre, la musique est un lien spirituel vital entre tous les corps vivants et leurs correspondances. Sa capacité salvatrice est un baume pour le cœur et un soin pour l’esprit. Au quotidien, elle apporte l’énergie qui nous manque en libérant des émotions trop souvent retenues et en apaisant les turbulences mentales.
La musique est d’abord un son émetteur de lumière. À chaque tonalité sa lumière, à chaque son sa couleur, mais nous avons tellement cherché à progresser en direction de la matière que nous n’accordons pas l’intérêt mérité à la symphonie produite par les gammes musicales enchantées.
Dans son ouvrage “Les mondes de Lumière”, A.K. Edwards relate l’expérience d’un groupe de déportés russes en Sibérie qui, de l’isolement douloureux au fond de leur mine de sel, eurent l’idée d’utiliser concrètement les radiations de la lumière solaire. Par cette expérience, ils découvrirent que ces radiations produisaient des rayons émis par des vibrations dont la particularité était de diffuser des couleurs et des sons. Ce groupe de déportés commença à utiliser les radiations solaires pour s’alimenter d’une certaine manière aussi bien physiquement que psychiquement, et entreprirent de se guérir de bien des maux dont ils étaient victimes.
Des recherches menées sur les phénomènes vibratoires de la musique offrirent à des musiciens-chercheurs la révélation de l’équivalence entre lumière, couleur et sonorité, par exemple l’émission d’une radiation multicolore à la diffusion de l’Angélus.
Autre expérience relatée par Olivier Messiaen en 1960 à l’Institut de Musicologie de la Sorbonne, citant sa propre aventure lors d’une expérience de substances modifiant les perceptions cérébrales : “Durant quelques heures, sa vision était restée troublée ; la vue et l’ouïe étaient confondues, il voyait les sons et entendait les couleurs.” En fait, cette action sur son cerveau n’a nullement faussé sa perception des choses mais l’a plutôt ouverte et connectée à la réalité. Notons au passage qu’il n’est ni utile ni recommandé de faire usage de quelques drogues que ce soient, l’âme sensible à l’élévation de conscience par l’art ou l’émotion sacrée y parvient sans difficulté.
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